Le phenomene tecktonik:

Publié le par hamza

 

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Tecktonik (souvent abrégé en TCK) est une danse basée sur des mouvements atypiques inspirés de diverses danses électroniques et du hip-hop, adaptés au rythme de la techno belge et de la musique hardstyle. Son nom est une marque déposée. Elle se fait connaitre sur internet par le biais de sites communautaires. Les premières soirées tecktonik killer sont organisées au Metropolis courant 2000 et depuis la danse connait un succès croissant et se diffuse en dehors de France.[]

Le langage de la tecktonik met en jeu la désarticulation du corps, avec une propension à l’accélération extrême de l’exécution. Il en résulte une impression de fébrilité chaotique, de pantomime débridé, hors de contrôle, non sans une pointe d’humour (comme le mettent en scène certaines vidéos montrant, dans un lieu public, des danseurs pris de gesticulations frénétiques, décalés au milieu de la foule des passants).

La tecktonik s’articule autour d’une palette de mouvements corporels et de figures gestuelles que l’exécutant combine librement, y ajoutant des éléments personnels, voire empruntés à d’autres danses. Le canevas de la danse reste donc souple, et c’est l’impression de liberté et de créativité qui doit prédominer dans les combinaisons.

Une des figures est devenue emblématique de toute la danse. Elle consiste à exécuter avec le bras un mouvement enveloppant autour de la tête : on avance la main vers le cou, près de l’oreille, pour l’engager sur la nuque en direction de l’autre oreille pendant que l’avant-bras passe par-dessus la tête – mouvement perçu comme une stylisation du geste consistant à s’appliquer du gel dans les cheveux.

La tecktonik se danse en solo, même s’il arrive qu’un danseur soit juché sur les épaules d’un autre, ou bien les jambes enserrant la taille d’un autre danseur et le buste basculé vers le sol.

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